Pourquoi pas un immeuble de bureaux flottant ?

Vous envisagez de construire un nouvel immeuble de bureaux, en phase avec le développement durable et l’économie circulaire ? Pourquoi n’opteriez-vous pas pour un complexe flottant, érigé en bois ?

Vous vous placeriez ainsi dans le sillage du Global Center on Adaptation, une organisation chargée par la Banque mondiale de rassembler des connaissances sur le changement climatique et d’examiner comment les exploiter au mieux. Dans les cinq à dix ans qui viennent, elle emménagera dans un immeuble de 3 000 mètres carrés en bois – ce qui offre une empreinte CO2 favorable – placé sur une plateforme sur le Rhin à Rotterdam.

La plateforme de 90 m sur 24 joue à fond la carte de la circularité. Elle peut être remorquée d’un port à un autre si la nécessité s’en fait sentir. Elle peut également être démontée entièrement ou partiellement selon l’évolution des besoins en termes d’espaces. Le bois sera réutilisable lorsque l’immeuble, ou une partie de celui-ci, aura fait son temps. à l’inverse, le complexe pourra également être étendu de manière modulaire.

Côté sud, l’immeuble est équipé de panneaux solaires, capables de satisfaire tous ses besoins énergétiques. Côté nord, est placé un toit vert. Le refroidissement des bâtiments est assuré par l’eau du Rhin. Les balcons entourant chaque étage procurent une protection solaire passive.

L’immeuble flottant abrite au rez-de-chaussée un restaurant accessible au public. à terme, l’ensemble du complexe pourra également être transformé en immeuble à appartements.

La réutilisation plus en vogue que prévu

De plus en plus de gens sont désormais acquis à l’idée de donner une seconde vie à leurs biens. Ainsi, l’an dernier, près de deux Flamands sur trois ont acheté, vendu, reçu ou donné un produit déjà utilisé.

Au total, ces biens d’occasion ne représentent pas moins de 33,8 kg par personne. C’est beaucoup plus que ce qu’on estimait généralement. Il est vrai qu’une nouvelle étude du Steunpunt Circulaire Economie n’a plus limité la réutilisation à ce que les Flamands venaient acheter aux « Petits riens », mais a également pris en compte les achats sur les sites de seconde main, les enchères, les brocantes, les ventes de garage, ainsi que les dons informels entre membres de la famille et les amis. Dès lors, la réutilisation n’était plus limitée à 5,4 kg par personne, mais est passée à 33,8 kg.

En mettant la (seconde) main sur du matériel de bureau réaffecté de Nnof, vous pouvez vous aussi vous inscrire dans cette tendance.

La tâche du facility manager se complique

La mission des facility managers, qui se chargent de l’entretien des bureaux et doivent veiller à ce que les travailleurs disposent de tout le nécessaire pour mener leurs tâches à bien, est devenue beaucoup plus exigeante.

Pour leurs achats, ils doivent prendre en compte non seulement le prix et la qualité des fournitures, mais également leur durabilité.

Réduire l’empreinte écologique des activités, que les entreprises sont de plus en plus nombreuses à inscrire en tête de leurs priorités, commence en réalité dès leurs opérations d’achat. Sont notamment visés les produits de nettoyage et le recours à une société de nettoyage. La consommation d’eau et les produits de nettoyage utilisés sont désormais des critères de choix importants. Mais, s’agissant des produits, il existe à présent suffisamment de détergents qui nuisent moins à l’environnement.

Un parquet qui a une histoire

Un parquet au « riche » passé. Le parquet de la Bourse de Bruxelles en a vu en effet des fortunes se faire et se défaire au cours de son histoire. Des années durant, des courtiers l’ont parcouru en tous sens pour acheter et vendre des actions. Il a donc traversé plusieurs crises en tous genres.

Mais la technologie lui a ôté sa raison d’être. Depuis 2015, le bâtiment de la Bourse de Bruxelles n’abrite plus Euronext Brussels, qui s’est installé dans un immeuble moderne. Un musée de la bière prendra sa place. Moyennant des travaux de transformation.

La Ville de Bruxelles, qui est propriétaire du bâtiment de la Bourse, a décidé de ne pas démolir le prestigieux parquet, mais de le vendre en vue de sa réutilisation. C’est ainsi que 73 lots de quelque 20 m² de parquet ont été acquis par deux acheteurs pour un prix total de 29.840 euros.

Vous envisagez, vous aussi, un projet d’aménagement comprenant des matériaux recyclés ? Chez Nnof vous frappez à la bonne porte.

Le modèle d’entreprise circulaire est plus complexe

Faire fonctionner une entreprise selon un véritable modèle circulaire est bien plus complexe que de la gérer de manière traditionnelle.

« Il faut en effet comprendre tous les rouages de la chaîne de vos fournisseurs et celle de vos acheteurs », comme l’ont souligné Giulia Caterina Verga, research teaching assistent à l’Université Libre de Bruxelles (ULB), et Jean Mansuy, research associate de la Vrije Universiteit van Brussel (VUB) lors d’un webinaire sur l’économie circulaire à la Fédération des entreprises de Belgique (FEB).

Jean Mansuy explique : « Une entreprise circulaire doit connaître la provenance complète de ses matières premières. Elle doit également savoir ce que ses clients vont faire ensuite des produits finis. Sinon, impossible de boucler la boucle. »

«Une solution est de prendre à sa charge une plus grande partie de la chaîne de production ou de choisir des fournisseurs engagés en ce sens », souligne encore Jean Mansuy.

«Une entreprise circulaire ajoute également une dimension supplémentaire à sa mission », font remarquer Giulia Caterina Verga et Jean Mansuy. « Il ne s’agit pas seulement d’apporter une valeur ajoutée pour laquelle vos clients sont prêts à payer. Il faut concevoir et fabriquer les produits en utilisant les matières premières de manière efficiente. Par exemple, en faisant en sorte d’allonger la vie de vos produits, de permettre de les réparer ou de leur donner une seconde vie pour d’autres usages. »

Giulia Caterina Verga ajoute : « Nous devons à cet égard éviter un piège classique : consommer plus parce que les produits sont meilleurs. »

Nnof couronnée du titre « SDG Pioneer » des Nations Unies

Si Nnof, Transmoove et Nnofcare entendent jouer un rôle de précurseur dans le domaine de l’économie circulaire, nous nous engageons également à soutenir les objectifs SDG des Nations Unies. Nos actions en ce sens nous ont déjà valu de recevoir le titre de « SDG Pioneer ».

Les Sustainable Development Goals (SDG), ou Objectifs de développement durable, ont été approuvés par les Nations Unies en 2015. Ils ont pour objectif à l’horizon de 2030 d’éliminer la pauvreté, de réduire les inégalités et de s’attaquer au changement climatique.

Les entreprises qui opèrent en bonne intelligence avec le monde et la société en général peuvent y contribuer en développant des actions. Toutes celles évaluées positivement à trois reprises pendant une période de cinq ans se voient décerner le certificat international des NU ainsi que le titre de « SDP Pioneer ». Dans notre pays, le suivi est assuré par les organisations patronales VOKA (Flandre), UWE (Wallonie) et FEB (Belgique).

Les entreprises Nnof ont déjà reçu cette distinction. Nous nous investissons en effet dans la réalisation d’une série de SDG. Il s’agit notamment du SDG 12 (consommation et production responsables). Nous y contribuons pour tous nos sièges d’ameublement non seulement en utilisant des panneaux lattés récupérés, mais aussi en regroupant les transports et en utilisant des véhicules dont l’effet sur l’environnement est inférieur à la moyenne.

Par ailleurs, nous soutenons la réalisation du SDG 10 (réduire les inégalités) notamment en collaborant avec un atelier social où nous mettons au travail quotidiennement des personnes défavorisées.

Et on peut également compter sur nous pour réaliser le SDG 15 (la vie terrestre). Ainsi, nous aidons les clients à faire des choix favorisant la biodiversité dans l’aménagement de leur intérieur.

La mode aussi peut être durable

La mode n’échappe pas non plus à la tendance à la réutilisation, bien que le secteur préfère parler de surcyclage ou ‘upcycling’.

Au début de cette année, le styliste italien Giorgio Armani a qualifié de criminel le rythme auquel sont lancées les nouvelles collections. La vitesse d’obsolescence des vêtements reste ainsi très élevée et génère des surstocks.

Son intervention a fait mouche, même auprès d’une marque de luxe telle que Louis Vuitton. Ainsi, la collection hommes printemps-été 2021 comptera 25 modèles élaborés à partir de vêtements anciens qui seront surcyclés.

Les petits producteurs ne seront pas en reste. La société belge Shake & Kai, par exemple, fabrique des vêtements composés à 50 % de coton recyclé et à 50 % de polyester recyclé à partir de bouteilles en plastique usagées.

Des cadeaux d’affaires écologiques

La ville de Louvain impose des exigences de durabilité lorsqu’elle achète des gadgets ou des cadeaux d’affaires.

Parce que préserver l’environnement et lutter contre le dérèglement climatique, cela commence par de petites choses.

Les cadeaux achetés par la ville de Louvain doivent être réutilisables, fabriqués à partir de matières premières recyclées et/ou qui présentent une faible empreinte carbone. En outre, ils doivent de préférence avoir été produits localement et par une entreprise sociale ou affichant un label de commerce équitable.

Louvain veut ainsi en finir avec les cadeaux d’affaires qui finissent dans un placard, voire à la poubelle.

Mrs Protective installe des écrans entre vos postes de travail

Les entreprises et les organisations qui recherchent du matériel pour protéger leur personnel contre le coronavirus trouveront leur bonheur dans la boutique en ligne de Nnof.

Sous la rubrique « distanciation physique », vous trouverez des écrans que vous pouvez placer entre les différents postes de travail afin d’empêcher la transmission du virus.

L’offre est vaste et comprend d’élégants écrans transparents en verre ou en plexiglas ainsi que des housses en PVC non translucides et des panneaux en stratifié HPL. Les produits, regroupés sous le nom de Mme Protective, sont disponibles dans un délai de quatorze jours ouvrables.

Le coronavirus accélère la transition

La crise du coronavirus accélère la transition vers une économie circulaire. Selon les résultats d’une enquête menée par l’organisation patronale Etion et le secrétariat social Acerta, de plus en plus d’entrepreneurs sont conscients de la nécessité d’économiser les matières premières.

85 % des entrepreneurs interrogés considèrent que la durabilité est la nouvelle norme dans leurs activités commerciales. La mise en œuvre de cette norme se traduit par la diminution des déchets (93,9 %), le recours au télétravail (83,7 %), la prise en compte de critères de durabilité lors des achats (81,2 %) et une utilisation parcimonieuse de matières premières et de matériaux (80 %). La réutilisation et le recyclage des matériaux sont toujours mentionnés par 73,6 % des personnes interrogées.

Près de six chefs d’entreprise sur dix (59,1 %) pensent que l’épidémie de coronavirus favorise la transition vers une économie circulaire. « Une crise exacerbe souvent l’orientation et la vitesse des tendances économiques. Il faut toujours tirer parti d’une bonne crise dit-on, et c’est bien plus qu’un simple dicton. C’est à tout le moins une invitation et plus encore, une mission. Plus de la moitié de nos dirigeants d’entreprise ont compris que la transition vers une économie circulaire arrive aujourd’hui à un tournant », affirme l’économiste en chef d’Etion, Geert Janssens.

Les résultats de ce sondage sont importants parce qu’ils permettent d’adapter la production aux exigences d’aujourd’hui, mais aussi d’attirer des collaborateurs qualifiés. « Près de six personnes interrogées sur dix dans le cadre de notre enquête indiquent que les candidats posent avec de plus en plus d’insistance des questions sur la vision de l’entreprise en matière de durabilité et de circularité », ajoute Tom Vlieghe, directeur du Talent Center d’Acerta.