Organiser sa réunion dans une boîte ? Un bon geste pour l’environnement

Les boîtes de conférence mobiles de Nnof créent une bulle isolée du reste de votre espace de travail. La solution parfaite pour organiser vos réunions confidentielles et autres conférences, tenir une conversation téléphonique parfois bruyante ou être très concentré sur un épineux dossier.
On a tous connu cela en entreprise : vous devez passer un appel téléphonique important et recherchez une salle au calme, mais l’espace de réunion du bureau est déjà occupé pour les trois prochaines heures. Plus besoin de vous enfermer aux toilettes pour passer votre coup de fil ! Pour parer à cette situation et à bien d’autres, Nnof a imaginé trois boîtes mobiles :

>> La spacieuse Mrs. Boxi Original, la Rolls-Royce de nos boîtes mobiles, accueille des réunions jusqu’à 6 personnes. Même la séance de brainstorming la plus agitée passera inaperçue dans cet espace XXL.

>> La Duo Box accueille deux personnes pour une séance de travail ou de réunion imperturbable. Elle fait également office de cabine pour passer un coup de fil en toute tranquillité.

>> La Mono Phone Booth est une option plus compacte, parfaite pour passer un appel.

Un trajet de 4 600 kilomètres évité

Nos boîtes constituent la bulle parfaite pour vos conference calls et autres réunions, vos appels téléphoniques et tous ces moments où vous souhaitez vous concentrer loin du brouhaha de vos collègues. Vous pourrez également relier plusieurs boîtes entre elles. Chacun de nos modèles dispose d’un système d’éclairage, d’aération et d’isolation acoustique. Autre atout : ils se démontent très facilement. Vous pourrez donc aisément déplacer nos boîtes et ainsi les employer comme solution mobile.

Nnof est également l’une des seules entreprises de sa catégorie à proposer des boîtes mobiles conçues dans un respect maximum des principes de l’économie circulaire. Nous recourons à des produits naturels, employons des déchets comme matière première et appliquons des méthodes de production et de transport durables pour permettre à chacune de nos boîtes d’économiser entre 300 et 600 kilos de CO2. Des émissions qui correspondent à un trajet de 2 300 à 4 600 kilomètres.

Une seconde vie pour les anciennes planches de MDF

Plus besoin de brûler ou de jeter les planches de MDF usagées. Act & Sorb ambitionne d’en traiter 7 500 tonnes avant la fin de cette année et même 50 000 tonnes dans les trois années à venir. C’est que l’offre ne manque pas.

Chaque année, l’industrie produit plus de 70 millions de tonnes de ce revêtement de bois qui compose si souvent nos meubles et nos sols stratifiés. Ces planches se composent de déchets de bois pressés additionnés de colle de résine et affichent une durée de vie de 10 à 15 ans. Désormais, Act & Sorb souhaite recycler ces planches de MDF dans son usine de Genk pour en faire du charbon actif. Cette substance permet notamment de purifier l’eau, l’air et certains produits chimiques.

Une deuxième vie pour les chaises de la stib

La STIB, la société de transports publics bruxelloise, conserve précieusement des excédents de tissus pour réparer les sièges de ses trams et autres bus en cas de besoin. Mais que faire de ces excédents lorsqu’elle change de collection ?

Plutôt que de les jeter, elle préfère les upcycler ! C’est au gestionnaire de son stock mobilier que revient la brillante idée d’employer ces textiles pour donner une nouvelle jeunesse à des chaises promises au parc à conteneurs. Résultat : une seconde vie pour des chaises et du tissu voués à la déchetterie ! Cette initiative permet également de conserver un petit bout d’histoire bruxelloise et de mettre en avant les différents services de la STIB.

Une économie européenne totalement circulaire en 2050

L’économie européenne devra être intégralement circulaire en 2050. Pour concrétiser cette ambition, il est indispensable d’adopter des normes fixant le taux de matériaux recyclés contenus dans différents produits et d’atteindre ces objectifs avant 2030. Ce projet fait l’objet d’une résolution approuvée par une vaste majorité au Parlement européen.

L’extraction et le traitement des matières premières sont responsables de la moitié des émissions totales de gaz à effet de serre, de plus de 90 % de la perte de la biodiversité et de l’exploitation intensive des réserves d’eau. Les conclusions d’une étude du Panel international des ressources sont formelles : les matières premières doivent être employées avec parcimonie.

Par conséquent, le Parlement européen invite les entreprises à accorder une importance toute particulière à la phase de conception de leurs produits. En effet, 80 % de l’impact environnemental d’un produit est déterminé lors de cette étape.

Le Parlement européen a donc adopté une résolution visant à étendre la portée de la directive sur l’écoconception. Son objectif : inciter les entreprises à employer un maximum de matériaux simples à produire ou à recycler dans la conception de nouveaux produits.

Il souhaite également renforcer le caractère impérieux de ces mesures. En effet, le Parlement projette d’imposer à tous les secteurs des objectifs concrets concernant la teneur en matériaux recyclés employés dans la production d’une variété de produits et de les atteindre au plus tard en 2030.

Dans l’hémicycle, ce texte a récolté 574 voix pour, 22 voix contre et 95 abstentions.

Cherche marc de café pour en faire du savon

Votre entreprise consomme au moins 50 kilos de café par mois ? Dans ce cas, que diriez-vous de donner votre marc de café pour en faire du savon ?

Glimps.bio/Kaffee Circulair, l’organisation à l’origine de cette initiative, espère récolter au moins 10 tonnes de marc cette année. Ce marc sera séché et pressé afin d’obtenir un palet sec et de l’huile.

L’huile ainsi extraite sera ensuite employée dans la production de savon par Christeyns, l’un des plus grands fabricants de produits d’entretien au monde. L’enseigne spécialisée pourra ainsi répondre à la demande croissante en produits naturels.

La pandémie a complètement changé notre environnement de travail

Le Grand Retour. Toutes les entreprises n’ont qu’une envie : pouvoir oublier ce virus et retrouver une vie normale au plus vite. Mais les choses ne seront plus jamais comme avant. Autant en tenir compte dès aujourd’hui lors de l’aménagement de vos bureaux.
L’époque où l’on se retrouvait entre collègues au bureau est révolue. Notre nouvelle normalité professionnelle conjugue bureau et travail à domicile.

Cette évolution nous pousse à réinventer nos espaces de travail. Aujourd’hui, nous travaillons à la maison deux à trois jours par semaine. Il est donc indispensable de doter son chez-soi d’une chaise de bureau et d’un écran d’ordinateur ergonomiques. Plus qu’un environnement de travail, le bureau devient un lieu d’échange social.

Tous les travailleurs ne disposent plus d’un emplacement de travail fixe. Rien de plus logique, quand on sait qu’ils ne s’y rendent plus aussi régulièrement qu’auparavant. Cette nouvelle donne permet de rendre aux tâches exécutives tout l’espace dont elles ont besoin, mais elle nous oblige également à aménager de nouveaux espaces consacrés aux échanges entre collègues et au brainstorming.

En outre, cet environnement de travail 2.0 doit répondre à de nouvelles exigences. Nos espaces de vie doivent contribuer à notre bien-être et le bureau ne fait pas exception. Sans oublier qu’un collaborateur épanoui est un collaborateur plus productif.

Envie de trouver des solutions adaptées à ces nouveaux défis pour votre entreprise ? N’hésitez pas à nous contacter. L’aménagement d’environnements de travail et la conception d’espaces sains et agréables (également appelée « design biophilique ») sont ancrés dans notre ADN.

Télétravail : veillez à l’ergonomie

La pandémie de coronavirus a amené de nombreuses personnes à travailler chez elles. Et bon nombre d’entre elles continueront à télétravailler à l’avenir. Il faut veiller dès lors à le faire dans de bonnes conditions.

Un employeur doit s’assurer que ses salariés puissent travailler dans des conditions appropriées. Leur sécurité et leur santé doivent être garanties. Peu importe que leur poste de travail se situe au bureau ou dans une pièce de leur maison.

Les employeurs ont également tout intérêt à y veiller. Un poste de travail inadapté ou du mauvais matériel produit des résultats de moindre qualité.

Les salariés qui travaillent souvent à domicile doivent disposer d’un écran supplémentaire et de sièges ergonomiques pour leur épargner des maux à la nuque, aux épaules et au bas du dos.

Certains employeurs autorisent leurs salariés à emporter chez eux un siège de l’entreprise. Ils sont également de plus en plus nombreux à livrer du mobilier adapté au domicile de leur personnel. Nnof leur a réservé une rubrique dédiée sur son magasin en ligne.

Nnof fait économiser du CO₂ à la région flamande

Le contrat conclu entre la Région flamande et Nnof à la fin de 2019 a fait économiser à la première plus de
27 000 kg de CO₂ en 2020.

Tous les services de la Région flamande – ainsi que les institutions publiques, villes, communes et CPAS – peuvent choisir désormais leur mobilier par le biais de contrats-cadres. Ce dispositif permet de réutiliser les meubles autant que possible. Si une réutilisation s’avère impossible, les bons éléments sont récupérés pour fabriquer de nouveaux objets, ce qui contribue à réduire les émissions de CO₂.

La principale économie, 21.851 kg, a été réalisée en 2020 lors du réaménagement des bureaux du médiateur du travail VDAB à Bruxelles, Malines, Diest, Alost et Tirlemont. Du côté de la société de développement provinciale Flandre occidentale (POM West-Vlaanderen), le gain s’est élevé à 2.280 kg.

L’économie circulaire, grande pourvoyeuse d’emplois

L’économie circulaire est une grande pourvoyeuse d’emplois dans notre pays. En Flandre, elle devrait créer 30 000 postes de travail supplémentaires à l’horizon 2030. Mais la Wallonie place également beaucoup d’espoir dans l’emploi circulaire.

En Flandre, l’emploi créé dans l’économie circulaire croît plus rapidement que le marché global du travail. En 2010 et 2016, l’économie circulaire a généré 6,4 % de jobs supplémentaires alors que la croissance dans l’ensemble du secteur économique s’est limitée à 2,7 %, a calculé le Steunpunt Circulaire Economie. Et cet écart est sans doute sous-estimé, observe le chercheur Kris Bachus (KU Leuven). L’étude n’a pris en compte en effet que les activités purement circulaires.

D’ici à 2030, le Steunpunt prévoit que l’économie circulaire créera quelque 30 000 jobs.
Le plus gros potentiel de création d’emplois se situe dans les secteurs circulaires de la réparation de machines.

Il est frappant de constater que 85 % des emplois actuels dans le secteur circulaire en Flandre sont exercés par des hommes. Une grande partie d’entre eux ont tout au plus un diplôme de l’enseignement secondaire. Les chercheurs l’expliquent par le caractère manuel du traitement des déchets.

Selon la Fondation Roi Baudouin, la Flandre compte — directement et indirectement — environ 148 000 emplois dans l’économie circulaire, soit 7,5 % de l’emploi total. à Bruxelles, on en dénombre quelque 58 000 et en Wallonie plus ou moins 56 000.

La Wallonie accuse donc un retard par rapport aux autres régions, mais le sud du pays entend bien le rattraper. Les emplois dans l’économie circulaire sont en effet, pour une grande partie, moins susceptibles d’être délocalisés. Ils sont donc beaucoup plus stables et offrent des possibilités pour les travailleurs des secteurs en déclin.

Bruxelles : territoire de prédilection pour la construction circulaire

La Région bruxelloise se profile comme le terrain de jeu idéal en matière d’innovation en circularité.
Le bâtiment, généralement ancien, offre en tout cas une opportunité de réutilisation des matériaux.

Le territoire bruxellois se caractérise par sa forte densité de surface bâtie. De surcroît, sept bâtiments sur dix ont été construits avant 1945. Dès lors, beaucoup de chantiers comprennent des phases de démolition ou de rénovation.
La Région de Bruxelles-Capitale nourrit ainsi l’ambition de multiplier par trois le degré de rénovation sur son territoire.

La Confédération Construction Bruxelles-Capitale et le Centre de référence Construction – qui entend faire mieux correspondre les formations aux besoins des entreprises – s’inscrivent dans cette démarche. Ils viennent de lancer
un nouveau programme de formations et d’accompagnements gratuits sur la construction circulaire : Be Circular.Brussels. Les entreprises intéressées y apprennent comment rendre les éléments de construction démontables afin de pouvoir les réutiliser.

Les promoteurs de ce programme déplorent l’énorme perte de matériaux de construction. Le secteur bruxellois de la construction ne « produit » en effet pas moins de 628 000 tonnes de « déchets » par an. Même si 91 % de ces matériaux sont recyclés, leur valeur d’usage diminue fortement. On peut l’éviter en enseignant des processus axés sur la réutilisation.