Archive d’étiquettes pour : nnof

Un caisson à tiroirs ? Non, un casier !

Dans les bureaux hybrides contemporains, le partage des espaces de travail s’intensifie toujours plus. Si bien qu’un nombre croissant d’entreprises choisissent de faire disparaître les caissons à tiroirs. Mais Nnof et Transmoove constatent que ce n’est PAS nécessaire. Car ces caissons peuvent être transformés en casiers à serrure.

Avec la généralisation du télétravail, ces caissons individuels perdent de leur importance. Les entreprises n’exigent plus notre présence au quotidien, si bien que le partage des bureaux et du mobilier avec des collègues s’amplifie. Un caisson à tiroirs coûte en moyenne 500 euros, tandis que sa production a un impact non négligeable sur l’environnement. Le jeter aux encombrants serait un véritable péché !

Nnof a donc imaginé une nouvelle fonction qui s’inscrit dans le cadre de travail contemporain : elle transforme un caisson en deux casiers.

Plus écologique et plus économique

Les avantages sont légion. Nous transformons des meubles existants, si bien qu’il ne faut pas prévoir de pièces supplémentaires pour en installer de nouveaux. En outre, chaque caisson accueille deux casiers, ce qui double la capacité des espaces de rangement personnels. Sans oublier qu’un caisson à tiroirs est équipé de roulettes, vous pouvez donc l’emmener facilement jusqu’à votre bureau.

La réduction de l’impact sur l’environnement est énorme. Le tiroir est conservé en entier, ce qui évite toute perte de matériau. Les seules nouveautés sont les serrures, les poignées, les porte-étiquettes et les façades en bois. Précisons tout de même que nous fabriquons ces dernières avec de l’aggloméré récupéré. Mais c’est surtout beaucoup plus économique ! Pour une transformation, il faut compter de 125 à 150 euros par casier, alors qu’un neuf coûte environ 250 euros, soit près du double. Le choix est vite fait, non ?

La Nnoffensive est lancée : Nouvelle récompense pour nnof

Lors de la remise du Sustainability Professional Award, Anne Lenaerts, directrice de la communication chez Nnof, a décroché une place en finale. Elle devient donc officiellement ambassadrice de la durabilité.

La durabilité gagne en importance dans le monde des entreprises. Rien de plus logique : l’entreprise de demain est par définition durable. C’est dans ce contexte que la Fédération des entreprises de Belgique et l’ASBL Time4Society ont élu pour la septième fois le Sustainability Professional de l’année. Cette récompense est décernée à une voix inspirante du secteur de l’économie qui incarne la durabilité.

Anne Lenaerts a émergé d’un groupe de 300 candidats pour se placer dans le trio de tête. Elle porte désormais le titre de Sustainability Ambassador. Nele Van Damme (Upgrade Estate) et Bruno Van Steenberghe (Kalani-Home) ont quant à eux été élus Sustainability Professionals de l’année.

Le nouveau titre d’Anne ne surprend personne, elle s’investit en effet depuis des années en faveur de la durabilité et de l’économie circulaire. Durant la pandémie, elle a notamment suivi une formation Solvay pour comprendre nos freins face au changement. Elle a ensuite impliqué le plus grand nombre possible de personnes dans le projet pour remporter leur adhésion, c’est ce qu’elle appelle la « Nnoffensive ».

Nous sommes tous « Nnof »

Cette volonté se concrétise notamment dans le contrat-cadre que Nnof a conclu avec le gouvernement flamand. Des villes, des communes et des services publics flamands s’engagent ainsi résolument en faveur de la circularité, ce qui se traduit par 3300 meubles revalorisés. « Les pouvoirs publics montrent ainsi qu’ils prennent au sérieux la pensée circulaire », explique Anne. L’économie et l’écologie avancent main dans la main. « Nnof, c’est une garantie de résilience et de flexibilité. Avec notre projet, nous voulons encourager d’autres entrepreneurs et d’autres clients à s’engager de pied ferme dans la même direction. » Allons-nous tous bientôt commencer à « Nnoffer » ?

Nnof continue à remettre à neuf des meubles de la Région flamande

En novembre 2019, la Région flamande et Nnof concluaient deux contrats-cadres sur la remise à neuf des meubles qui ont fait leur temps. Deux ans plus tard, un de ces contrats a été reconduit.

Les contrats-cadres permettaient à l’ensemble des départements et administrations publiques de la Région flamande – en ce compris, donc les institutions publiques, les villes, les communes et les CPAS – de faire appel à l’expertise de Nnof. Le contrat portant sur les villes et communes expirait en 2021. Mais nous avons à nouveau décroché le nouveau marché. Nous pouvons donc continuer à mener à bien la mission qui nous tient à cœur : donner une seconde vie au mobilier obsolète. Quant au second contrat, il court encore pendant sept ans.

Anne Lenaerts : « À chaque fois, nous examinons les besoins concrets en questionnant les équipes concernées et en analysant leurs souhaits. Ensuite, nous inventorions ce qui est disponible. Puis, nous donnons des idées de remises à neuf et, enfin, nous concevons et aménageons un tout nouvel intérieur. Nous veillons non seulement à y intégrer les besoins fonctionnels et souhaits du client, mais également à ce que le nouvel ameublement soit agréable à regarder. Ce qui exige une bonne dose de créativité. Ainsi, nous avons utilisé des plaques des tours WTC pour construire une tribune assise et avons recyclé des armoires de bureau en vestiaires. L’objectif ultime est toujours d’aboutir à un maximum de circularité. »

Bon pour l’environnement… et le portefeuille

En choisissant à nouveau Nnof, la Flandre confirme son engagement à suivre résolument la voie de l’économie circulaire. Réutiliser les objets qui ont fait leur temps est une exigence portée par une part croissante de la population. Le gouvernement flamand entend accompagner et renforcer cette tendance. La remise à neuf de vieux meubles est bénéfique non seulement pour l’environnement – un gain crucial pour les institutions publiques qui veulent respecter leurs engagements écologiques – mais également en termes financiers. Le budget alloué à certains investissements publics peut en effet être réduit d’un tiers rien qu’en récupérant du matériel obsolète.

Télétravail : La nouvelle norme dans les pme

Aujourd’hui, alors que le télétravail n’est plus obligatoire, la plupart des PME continuent à le pratiquer. Il pourrait même devenir la norme dans une forme hybride.

Selon une enquête de SD Worx, quatre PME sur cinq permettent à leurs salariés de travailler au moins partiellement à domicile. Seuls 8% des dirigeants d’entreprise ne l’autorisent pas. SD Worx en conclut que cette forme hybride de travail – partiellement à la maison, partiellement au bureau – n’est pas près de disparaître.

« Ces chiffres confirment qu’il n’existe pas d’approche universelle », souligne Tulay Kasap de SD Worx. « Les entreprises trouvent un équilibre entre le travail au bureau et le télétravail. » Les PME flamandes et bruxelloises sont plus convaincues que leurs homologues wallonnes des mérites du télétravail pour retenir leur personnel talentueux.

Inspirez-vous de l’expérience des autres

Après la pandémie de coronavirus, vous envisagez peut-être d’aménager vos bureaux autrement, voire de déménager. L’expérience des autres peut vous inspirer.

Depuis 45 ans, Transmoove aide les entreprises et les organisations à mener à bien leur déménagement, mais aussi leurs réparations, leur stockage et la gestion de l’inventaire de leurs meubles de bureau. La durabilité est au cœur de notre démarche.

Soucieuse d’inciter les entrepreneurs et dirigeants d’entreprises à s’engager dans cette voie, Transmoove postera régulièrement des témoignages, des photos et des vidéos sur Linkedln et Facebook au cours des prochains mois. Ne manquez donc pas de nous suivre sur les réseaux sociaux.

Par ailleurs, Transmoove est prête à vous aider à développer et mettre au point vos idées. N’hésitez pas à nous appeler ou à nous envoyer un e-mail à ce propos.

Plus grande charge de travail sur la table de la cuisine

Nous travaillons plus longtemps et sommes plus productifs en télétravail. Ce qui ne nous empêche pas de vouloir retrouver le bureau à mi-temps. D’autant plus que la charge de travail est plus élevée à domicile.

Le prestataire de services RH Acerta et le site de recherche d’emploi StepStone ont interrogé 3 000 télétravailleurs belges concernant leur expérience durant la pandémie. La moitié des participants ont déclaré travailler davantage à la maison qu’au bureau avant la crise sanitaire. 50 % d’entre eux se disent également plus productifs. 32 % des personnes interrogées se considèrent tout aussi productives. Seuls 7 % des participants travaillent moins à domicile.

Et pourtant, 47 % des répondants souhaitent retourner à mi-temps au bureau. Ce chiffre est peut-être lié au fait qu’une majorité (64 %) d’entre eux estiment être confrontés à une plus grande charge de travail lorsqu’ils travaillent à domicile. Une assistance psychologique, des balades entre collègues et des pauses café en ligne sont quelques pistes pour veiller au bien-être des travailleurs.

Un peu vieux, mais super tendance

Un vélo de seconde main ? Une vieille bécane rouillée dont personne ne veut ? Détrompez-vous ! Les vélos d’Erts Cycles sont durables et tendance.

De Kringwinkel reçoit des centaines de vieux vélos chaque mois. Malheureusement, ils ne sont pas tous capables de vivre une seconde vie. Il arrive qu’ils nécessitent certaines pièces détachées que l’on ne trouve plus sur le marché ou qu’ils ne soient plus totalement réparables. Mais c’est là qu’Erts Cycles entre en scène.

L’enseigne des deux jeunes Anversois récupère les cadres toujours en état de marche. Ils les sablent, leur donnent une petite couche de peinture et les modifient pour leur permettre d’accueillir des pièces détachées modernes. Le résultat : des vélos tendance et minimalistes. Le recyclage du cadre réduit de 25 % l’empreinte écologique d’un vélo. Et la démarche d’Erts Cycles s’inscrit parfaitement dans cette volonté de respecter la matière première.

L’économie circulaire ? L’entreprise est preneuse !

Si cela ne tenait qu’à la Fédération des Entreprises de Belgique (FEB), notre plat pays serait à la pointe de l’économie circulaire avant la fin de l’année 2030.

Ces ambitions ne font pas peur à l’organisation patronale. Pieter Timmermans, son administrateur délégué, se confie au Trends : « La circularité est la clé de voûte d’une économie saine et résistante. » C’est pourquoi la FEB a rédigé une note de vision comprenant cinq objectifs.

La Belgique doit garantir une disponibilité maximale des matériaux avant la fin de l’année 2030. Notre pays doit également devenir le fer de lance de la conception et de la production circulaires, des modèles d’utilité circulaires, du recyclage de qualité supérieure de matériaux et de l’emploi de facteurs favorisant l’économie circulaire. P. Timmermans ajoute : « Nous voulons également jouer le rôle de locomotive circulaire à l’échelle européenne. »

Organiser sa réunion dans une boîte ? Un bon geste pour l’environnement

Les boîtes de conférence mobiles de Nnof créent une bulle isolée du reste de votre espace de travail. La solution parfaite pour organiser vos réunions confidentielles et autres conférences, tenir une conversation téléphonique parfois bruyante ou être très concentré sur un épineux dossier.
On a tous connu cela en entreprise : vous devez passer un appel téléphonique important et recherchez une salle au calme, mais l’espace de réunion du bureau est déjà occupé pour les trois prochaines heures. Plus besoin de vous enfermer aux toilettes pour passer votre coup de fil ! Pour parer à cette situation et à bien d’autres, Nnof a imaginé trois boîtes mobiles :

>> La spacieuse Mrs. Boxi Original, la Rolls-Royce de nos boîtes mobiles, accueille des réunions jusqu’à 6 personnes. Même la séance de brainstorming la plus agitée passera inaperçue dans cet espace XXL.

>> La Duo Box accueille deux personnes pour une séance de travail ou de réunion imperturbable. Elle fait également office de cabine pour passer un coup de fil en toute tranquillité.

>> La Mono Phone Booth est une option plus compacte, parfaite pour passer un appel.

Un trajet de 4 600 kilomètres évité

Nos boîtes constituent la bulle parfaite pour vos conference calls et autres réunions, vos appels téléphoniques et tous ces moments où vous souhaitez vous concentrer loin du brouhaha de vos collègues. Vous pourrez également relier plusieurs boîtes entre elles. Chacun de nos modèles dispose d’un système d’éclairage, d’aération et d’isolation acoustique. Autre atout : ils se démontent très facilement. Vous pourrez donc aisément déplacer nos boîtes et ainsi les employer comme solution mobile.

Nnof est également l’une des seules entreprises de sa catégorie à proposer des boîtes mobiles conçues dans un respect maximum des principes de l’économie circulaire. Nous recourons à des produits naturels, employons des déchets comme matière première et appliquons des méthodes de production et de transport durables pour permettre à chacune de nos boîtes d’économiser entre 300 et 600 kilos de CO2. Des émissions qui correspondent à un trajet de 2 300 à 4 600 kilomètres.

Une seconde vie pour les anciennes planches de MDF

Plus besoin de brûler ou de jeter les planches de MDF usagées. Act & Sorb ambitionne d’en traiter 7 500 tonnes avant la fin de cette année et même 50 000 tonnes dans les trois années à venir. C’est que l’offre ne manque pas.

Chaque année, l’industrie produit plus de 70 millions de tonnes de ce revêtement de bois qui compose si souvent nos meubles et nos sols stratifiés. Ces planches se composent de déchets de bois pressés additionnés de colle de résine et affichent une durée de vie de 10 à 15 ans. Désormais, Act & Sorb souhaite recycler ces planches de MDF dans son usine de Genk pour en faire du charbon actif. Cette substance permet notamment de purifier l’eau, l’air et certains produits chimiques.