Un parquet qui a une histoire

Un parquet au « riche » passé. Le parquet de la Bourse de Bruxelles en a vu en effet des fortunes se faire et se défaire au cours de son histoire. Des années durant, des courtiers l’ont parcouru en tous sens pour acheter et vendre des actions. Il a donc traversé plusieurs crises en tous genres.

Mais la technologie lui a ôté sa raison d’être. Depuis 2015, le bâtiment de la Bourse de Bruxelles n’abrite plus Euronext Brussels, qui s’est installé dans un immeuble moderne. Un musée de la bière prendra sa place. Moyennant des travaux de transformation.

La Ville de Bruxelles, qui est propriétaire du bâtiment de la Bourse, a décidé de ne pas démolir le prestigieux parquet, mais de le vendre en vue de sa réutilisation. C’est ainsi que 73 lots de quelque 20 m² de parquet ont été acquis par deux acheteurs pour un prix total de 29.840 euros.

Vous envisagez, vous aussi, un projet d’aménagement comprenant des matériaux recyclés ? Chez Nnof vous frappez à la bonne porte.

Le modèle d’entreprise circulaire est plus complexe

Faire fonctionner une entreprise selon un véritable modèle circulaire est bien plus complexe que de la gérer de manière traditionnelle.

« Il faut en effet comprendre tous les rouages de la chaîne de vos fournisseurs et celle de vos acheteurs », comme l’ont souligné Giulia Caterina Verga, research teaching assistent à l’Université Libre de Bruxelles (ULB), et Jean Mansuy, research associate de la Vrije Universiteit van Brussel (VUB) lors d’un webinaire sur l’économie circulaire à la Fédération des entreprises de Belgique (FEB).

Jean Mansuy explique : « Une entreprise circulaire doit connaître la provenance complète de ses matières premières. Elle doit également savoir ce que ses clients vont faire ensuite des produits finis. Sinon, impossible de boucler la boucle. »

«Une solution est de prendre à sa charge une plus grande partie de la chaîne de production ou de choisir des fournisseurs engagés en ce sens », souligne encore Jean Mansuy.

«Une entreprise circulaire ajoute également une dimension supplémentaire à sa mission », font remarquer Giulia Caterina Verga et Jean Mansuy. « Il ne s’agit pas seulement d’apporter une valeur ajoutée pour laquelle vos clients sont prêts à payer. Il faut concevoir et fabriquer les produits en utilisant les matières premières de manière efficiente. Par exemple, en faisant en sorte d’allonger la vie de vos produits, de permettre de les réparer ou de leur donner une seconde vie pour d’autres usages. »

Giulia Caterina Verga ajoute : « Nous devons à cet égard éviter un piège classique : consommer plus parce que les produits sont meilleurs. »

Nnof couronnée du titre « SDG Pioneer » des Nations Unies

Si Nnof, Transmoove et Nnofcare entendent jouer un rôle de précurseur dans le domaine de l’économie circulaire, nous nous engageons également à soutenir les objectifs SDG des Nations Unies. Nos actions en ce sens nous ont déjà valu de recevoir le titre de « SDG Pioneer ».

Les Sustainable Development Goals (SDG), ou Objectifs de développement durable, ont été approuvés par les Nations Unies en 2015. Ils ont pour objectif à l’horizon de 2030 d’éliminer la pauvreté, de réduire les inégalités et de s’attaquer au changement climatique.

Les entreprises qui opèrent en bonne intelligence avec le monde et la société en général peuvent y contribuer en développant des actions. Toutes celles évaluées positivement à trois reprises pendant une période de cinq ans se voient décerner le certificat international des NU ainsi que le titre de « SDP Pioneer ». Dans notre pays, le suivi est assuré par les organisations patronales VOKA (Flandre), UWE (Wallonie) et FEB (Belgique).

Les entreprises Nnof ont déjà reçu cette distinction. Nous nous investissons en effet dans la réalisation d’une série de SDG. Il s’agit notamment du SDG 12 (consommation et production responsables). Nous y contribuons pour tous nos sièges d’ameublement non seulement en utilisant des panneaux lattés récupérés, mais aussi en regroupant les transports et en utilisant des véhicules dont l’effet sur l’environnement est inférieur à la moyenne.

Par ailleurs, nous soutenons la réalisation du SDG 10 (réduire les inégalités) notamment en collaborant avec un atelier social où nous mettons au travail quotidiennement des personnes défavorisées.

Et on peut également compter sur nous pour réaliser le SDG 15 (la vie terrestre). Ainsi, nous aidons les clients à faire des choix favorisant la biodiversité dans l’aménagement de leur intérieur.

La mode aussi peut être durable

La mode n’échappe pas non plus à la tendance à la réutilisation, bien que le secteur préfère parler de surcyclage ou ‘upcycling’.

Au début de cette année, le styliste italien Giorgio Armani a qualifié de criminel le rythme auquel sont lancées les nouvelles collections. La vitesse d’obsolescence des vêtements reste ainsi très élevée et génère des surstocks.

Son intervention a fait mouche, même auprès d’une marque de luxe telle que Louis Vuitton. Ainsi, la collection hommes printemps-été 2021 comptera 25 modèles élaborés à partir de vêtements anciens qui seront surcyclés.

Les petits producteurs ne seront pas en reste. La société belge Shake & Kai, par exemple, fabrique des vêtements composés à 50 % de coton recyclé et à 50 % de polyester recyclé à partir de bouteilles en plastique usagées.

Des cadeaux d’affaires écologiques

La ville de Louvain impose des exigences de durabilité lorsqu’elle achète des gadgets ou des cadeaux d’affaires.

Parce que préserver l’environnement et lutter contre le dérèglement climatique, cela commence par de petites choses.

Les cadeaux achetés par la ville de Louvain doivent être réutilisables, fabriqués à partir de matières premières recyclées et/ou qui présentent une faible empreinte carbone. En outre, ils doivent de préférence avoir été produits localement et par une entreprise sociale ou affichant un label de commerce équitable.

Louvain veut ainsi en finir avec les cadeaux d’affaires qui finissent dans un placard, voire à la poubelle.

Mrs Protective installe des écrans entre vos postes de travail

Les entreprises et les organisations qui recherchent du matériel pour protéger leur personnel contre le coronavirus trouveront leur bonheur dans la boutique en ligne de Nnof.

Sous la rubrique « distanciation physique », vous trouverez des écrans que vous pouvez placer entre les différents postes de travail afin d’empêcher la transmission du virus.

L’offre est vaste et comprend d’élégants écrans transparents en verre ou en plexiglas ainsi que des housses en PVC non translucides et des panneaux en stratifié HPL. Les produits, regroupés sous le nom de Mme Protective, sont disponibles dans un délai de quatorze jours ouvrables.

Le coronavirus accélère la transition

La crise du coronavirus accélère la transition vers une économie circulaire. Selon les résultats d’une enquête menée par l’organisation patronale Etion et le secrétariat social Acerta, de plus en plus d’entrepreneurs sont conscients de la nécessité d’économiser les matières premières.

85 % des entrepreneurs interrogés considèrent que la durabilité est la nouvelle norme dans leurs activités commerciales. La mise en œuvre de cette norme se traduit par la diminution des déchets (93,9 %), le recours au télétravail (83,7 %), la prise en compte de critères de durabilité lors des achats (81,2 %) et une utilisation parcimonieuse de matières premières et de matériaux (80 %). La réutilisation et le recyclage des matériaux sont toujours mentionnés par 73,6 % des personnes interrogées.

Près de six chefs d’entreprise sur dix (59,1 %) pensent que l’épidémie de coronavirus favorise la transition vers une économie circulaire. « Une crise exacerbe souvent l’orientation et la vitesse des tendances économiques. Il faut toujours tirer parti d’une bonne crise dit-on, et c’est bien plus qu’un simple dicton. C’est à tout le moins une invitation et plus encore, une mission. Plus de la moitié de nos dirigeants d’entreprise ont compris que la transition vers une économie circulaire arrive aujourd’hui à un tournant », affirme l’économiste en chef d’Etion, Geert Janssens.

Les résultats de ce sondage sont importants parce qu’ils permettent d’adapter la production aux exigences d’aujourd’hui, mais aussi d’attirer des collaborateurs qualifiés. « Près de six personnes interrogées sur dix dans le cadre de notre enquête indiquent que les candidats posent avec de plus en plus d’insistance des questions sur la vision de l’entreprise en matière de durabilité et de circularité », ajoute Tom Vlieghe, directeur du Talent Center d’Acerta.

Une idée pour vos vieilles chaises

Vous ne savez pas quoi faire de vos vieilles chaises ? Peut-être trouverez-vous l’inspiration sur la page Facebook de Jamy Ivens de Lokeren. Ce fan de vélo a eu l’idée de les peindre aux couleurs d’anciennes équipes cyclistes.

Une chaise marron-noire-blanche de Molteni ? Ou un exemplaire blanc-bordeaux de Faema ? Ou bien un modèle jaune-bleu IJsboerke ? Ces chaises rétro raviront à coup sûr les amoureux de la petite reine.

L’idée lui est venue après avoir déniché de vieilles chaises de café et il a réussi à combiner sa passion pour le vélo avec sa formation de peintre-décorateur

Vous êtes tenté ? Pensez alors à faire appel à l’expertise de la société Nnof, qui redonne une nouvelle vie au mobilier de bureau.

Le déménagement d’ERIKS : un projet durable et rondement mené

Le fabricant de solutions techniques ERIKS a déménagé un de ses sites de Jumet vers Gosselies. Le projet a été géré par Nnof et Transmoove, experts en conception et mise en œuvre de projets de relocalisation durable.
ERIKS avait confié à Nnof la mission de rechercher de nouveaux locaux. Il fallait créer un environnement de travail innovant, plus vaste afin de favoriser la collaboration, et doté de possibilités de concentration suffisantes.

Sur la base de ses connaissances en immobilier et de ses contacts, Nnof a trouvé la propriété la plus appropriée et le déménagement s’est déroulé en quelques mois. Aujourd’hui, le nouveau bâtiment héberge 25 salariés sur une superficie de 300 m2.

Pour ce faire, Nnof a travaillé en 5 étapes :

1. l’analyse des besoins avec l’aide de toute l’équipe ;
2. la conception et le look&feel ;
3. la prise de contact avec les entrepreneurs les plus appropriés et la comparaison de leurs offres ;
4. la réalisation des travaux de rénovation dans un délai de 12 semaines ;
5. le déménagement et l’aménagement du nouvel environnement de travail via la société sœur Transmoove.

Le résultat est à la mesure des attentes : un cadre jeune et chaleureux, gai et aéré, où le souci de l’acoustique n’a pas été oublié. Equilibré aussi, entre ouverture et collaboration, et doté de suffisamment de possibilités de s’évader et de s’isoler.

Le pouvoir d’un bureau propre

Ne sous-estimez pas l’importance d’un bureau bien entretenu. Ordre et propreté exercent une influence positive tant sur les travailleurs que sur vos clients. Et ça, c’est bon pour votre entreprise.

Avouez-le : c’est tout de même plus agréable de travailler dans un espace propre, aux bureaux bien agencés, rehaussé de quelques plantes vertes pour une touche de fraîcheur. Ne pensez-vous pas que cela encouragera vos collaborateurs à donner le meilleur d’eux-mêmes ? Sans oublier qu’un bureau propre est la marque d’une bonne hygiène.

Mais saviez-vous qu’un bureau propre et ordonné influence également le regard de vos clients ? Vous souhaitez obtenir des résultats étincelants ? Commencez à appliquer ce principe à vos bureaux.

Heureusement, Care vous apporte tout son savoir-faire en la matière depuis plus de 45 ans.