Un bureau de caractère séduit les candidats

Vous recherchez des talents créatifs pour votre entreprise ?

Dans ce cas, ne sous-estimez pas l’apparence de vos bureaux. Ils sont votre carte de visite, non seulement pour vos propres salariés, mais aussi les clients et les candidats potentiels.

à l’heure actuelle, les talents peuvent souvent choisir eux-mêmes leur employeur. Les attirer n’est donc pas une mince affaire. Un lieu de travail agréable et plein de caractère et des installations de qualité, équipées des technologies modernes, peuvent vous aider dans cette tâche.

Il en va de même de la rétention du personnel. Vous devriez peut-être prendre le temps de réfléchir à l’évolution de votre concept de bureau. Vous pourriez libérer une énergie nouvelle en examinant celui-ci de près et en le réinventant complètement.

Votre bureau mérite lui aussi un nettoyage de printemps

L’hiver sombre a fait place aux fraîches odeurs printanières. Toutes les pièces de la maison subissent un nettoyage de printemps. Pourquoi ne pas en faire autant du bureau ?

À l’origine de cette coutume annuelle, il y avait la nécessité d’enlever autrefois la fine couche de suie et de poussière laissée par le chauffage au bois ou au charbon pendant l’hiver. Les temps ont changé, mais nous avons gardé cette habitude. Pourquoi ne pas en faire autant au bureau ? Les avantages sont légion : votre lieu de travail est plus sain et plus agréable, aussi bien pour vous que pour vos collègues ou vos visiteurs. Et vous serez aussi plus productif, car vous n’aurez plus à rechercher un document si tout est bien rangé.

Soutien massif à une politique climatique ambitieuse

Plus de 200 000 Belges ont déjà signé la pétition en ligne 
www.signformyfuture.be appelant le gouvernement à prendre des mesures pour maintenir le réchauffement climatique bien au-dessous de deux degrés et continuer à tendre vers une augmentation maximale de 
1,5 degré.

Les Belges s’inquiètent de la viabilité de la planète qu’ils lègueront à leurs enfants et leurs petits-enfants. L’action a d’emblée été soutenue par plus de 300 captains of society, des personnes jouant un rôle éminent dans le monde économique, le secteur associatif, les milieux universitaires et les médias. Didier Pierre, président de PMC – l’organisation faîtière regroupant Nnof, Transmoove et Nnofcare – est l’un des signataires de la première heure.

La Flandre et la Wallonie misent sur l’économie circulaire

Les gouvernements flamand et wallon mettent toutes voiles dehors dans la transition vers l’économie circulaire. C’est d’ailleurs la seule solution : si nous voulons sauver la planète, nous devons veiller à ce que les matières premières restent le plus possible dans le circuit économique au lieu de les soutirer chaque fois à la terre.

En Flandre, la transition vers une économie plus circulaire fait partie des sept priorités de « Vision 2050 », le document stratégique qui définit des objectifs transversaux à long terme.

La Société publique flamande pour les déchets (OVAM) a créé la cellule « Vlaanderen Circulair » pour accompagner la transition en soutenant la constitution de partenariats et la propriété partagée. La cellule rassemble aussi les connaissances et confie des missions de recherche ciblée présentant un intérêt pour la politique. Enfin, elle stimule l’innovation et l’entreprenariat dans le domaine de l’économie circulaire.

La Wallonie ne reste pas non plus les bras croisés. Des parlementaires de divers partis ont rédigé, avec la Fondation Roi Baudouin, un rapport soulignant l’importance de l’économie circulaire. D’ici 2030, la transition doit permettre de réduire de 30 % les besoins en matières premières primaires et de moitié les émissions de CO2. En outre, elle peut créer à court terme 36 000 nouveaux emplois, rien qu’en Belgique.

Pour accélérer la transition, les auteurs plaident pour l’institution d’un ministère de l’économie circulaire, la stimulation de l’achat de biens circulaires par les autorités publiques et le rassemblement des divers acteurs concernés par l’entreprenariat circulaire.

 

Bruxelles se dote d’un nouveau plan pour les déchets

La tendance au zéro déchet gagne du terrain. La Région de Bruxelles-Capitale mise fortement sur l’économie circulaire dans son nouveau plan pour les déchets, qui poursuit deux objectifs : réduire la montagne de déchets et éviter d’épuiser les ressources du sol.

Le plan de gestion des ressources et des déchets, approuvé par le Parlement bruxellois en novembre 2018, est déjà le cinquième de la série.

– Le premier a introduit les collectes sélectives pendant la période 1992-1997.
– Le deuxième a accordé entre 1998 et 2002 la priorité à la prévention des déchets.
– Le troisième, déployé de 2003 à 2009, a mis l’accent sur la réutilisation.
– Le quatrième a mené la lutte contre les déchets à cinq niveaux entre 2010 et 2017 : prévention, préparation au réemploi, recyclage, valorisation et, en dernier recours, élimination.

Le nouveau plan, qui compte 60 points d’action, met l’accent sur l’économie circulaire, qui trouve de nouvelles affectations aux déchets à retraiter. Dans la mesure du possible, il est tenu compte de la réutilisation ultérieure des produits dès leur conception. La mise en œuvre de l’économie circulaire au niveau local est un autre point fort du plan.

L’accompagnement des entreprises vers le zéro déchet et la réutilisation des matières premières passe notamment par la diversification et la multiplication des systèmes de collecte des déchets, une attention particulière étant attachée au secteur du bâtiment, où la marge de progression reste très importante.

D’après Ressources, la fédération des entreprises de l’économie sociale à Bruxelles et en Wallonie, une meilleure organisation permettrait de réutiliser entre 6 000 et 13 000 tonnes de déchets en plus qu’à l’heure actuelle.

Mrs. BOXI, un box de réunion pour 8 personnes en matériaux recyclés

Réaliser, à partir de matériaux recyclés, un box de réunion moderne pour quatre à six personnes, facile à démonter et à déplacer : c’est possible. Nnof en a installé un récemment au VDAB de Bruxelles. Son nom ? Mrs. BOXI.

Le VDAB (service flamand de l’emploi) avait imposé à Nnof les exigences suivantes : le box de réunion devait comprendre toutes les techniques modernes et satisfaire aux objectifs de développement durable des Nations Unies, qui visent notamment à mettre la planète sur la trajectoire de la durabilité d’ici 2030. Le VDAB entend en effet être l’entreprise publique flamande la plus durable qui soit.

Comme le nouveau box de réunion est composé à 80 % de matériaux existants, il nécessite peu de nouvelles matières premières. En outre, il a été fortement isolé à l’aide de fibres d’herbe. Les matériaux choisis ont ainsi permis d’économiser 500 kg de CO2. Comme le box de réunion se démonte, on peut le déplacer au besoin à un autre endroit, plus adéquat.

Les premières réactions sont très positives. L’évaluation finale doit encore lui parvenir, mais Nnof est déjà très fière de cet échantillon de son savoir-faire, qui s’inscrit parfaitement dans la philosophie consistant à donner une nouvelle vie aux matériaux déclassés.