Litières en papier recyclé

Ikati s’est lancée dans la production de litières à partir de déchets papiers récoltés en Belgique.

Pourquoi exporter nos déchets à l’autre bout du monde pour les voir recyclés en litières pour chats alors qu’il suffit de récolter en Belgique des vieux papiers et de les transformer en produit présentant un minimum d’impact écologique ? Tommy’s Gazette™ est une nouvelle litière réalisée à 100 % en papier recyclé, à Bruxelles, sous forme de granulés, sans additifs ni produits chimiques ajoutés. Un souci écologique qui se retrouve jusqu’à l’emballage : un sachet en papier kraft, biodégradable et cousu à l’aide de fils en fibres naturelles également biodégradables. Idéal même si votre chat ne s’appelle pas Tommy !

Une serre dans un supermarché

Un supermarché allemand a installé une serre au cœur du magasin. Les clients y récoltent eux-mêmes leurs légumes.

La start-up Infarm s’est spécialisée dans les serres. Elle propose des kits pour construire chez soi des serres miniatures. Elle conçoit des serres verticales pour les restaurants, les hôtels… Elle vient de lancer un nouveau projet : un mini-potager en serre pour les rayons des supermarchés. Les clients peuvent dès lors récolter les légumes de leurs choix. Grâce à ce concept, c’est moins de transports polluants, moins de CO2, moins de gaspillage alimentaire, pour des produits sans pesticides.

Soyez « trashion » !

Aujourd’hui, on ne doit plus être « fashion », il faut être « trashion » !

À ses débuts, le mouvement « trashion » – contraction des mots « trash » (ordure) et « fashion » (mode) – créait des vêtements spectaculaires mais peu mettables. Aujourd’hui, créateurs et fashionistas se pressent au Trashion Fashion Show dont la dernière édition a eu lieu en avril aux Etats-Unis. Certaines marques ont élaboré des procédés sophistiqués de recyclage de déchets en récupérant filets de pêche, pneus, filtres à café ou encore bouteilles en plastique pour confectionner des vêtements portables. EcoAlf, marque trashion emblématique, a d’ailleurs séduit Richard Gere et Gwyneth Paltrow, entre autres !

Slow working : levez le pied, vous serez efficace !

L’éloge de la lenteur comme garant d’une meilleure productivité au sein de l’entreprise ? C’est la philosophie du slow working.

Ceux qui pensent que le slow working n’est qu’une incitation à travailler moins se trompent. Le slow working incite à travailler mieux, à retrouver du sens, du plaisir et de l’harmonie au travail.

Pour adopter le slow working, il s’agit d’abord de se poser les bonnes questions. Quel est le sens de mon travail ? Comment puis-je l’optimiser en fonction de mes capacités et de mes désirs ? Comment est-il apprécié ?

Le slow working accorde énormément d’importance aux notions de communication, de partage, de collaboration, avec cette volonté d’innover et d’œuvrer pour un objectif commun. Travailler en équipe prend ici tout son sens. Quelques trucs et astuces ?

> Faire des listes : priorités du jour, de la semaine, du mois… Et cocher ce qui a été accompli. Le but est de simplifier et de clarifier son travail.
> Faire des pauses : pour soi ou pour passer du temps avec les collègues
> Faire confiance : à soi et aux autres, pour plus de motivation et de curiosité

Découvrez ici 5 façons de travailler plus lentement pour doper votre productivité.

Nnof et D&C Services créent un jardin naturel

Bureau d’études spécialisé dans les projets d’aménagement de bureaux, D&C Services, société sœur de Nnof, vient de créer un jardin écologique et naturel en s’inspirant des principes de base de l’aménagement extérieur de bureaux, l’une de ses spécialités.

C’était il y a quelques semaines, à Grimbergen. Nnof et D&C Services mettaient la touche finale à leur tout premier jardin rectangulaire d’une superficie de 5 ares dans une entreprise. Ce jardin a été aménagé de manière totalement écologique. C’est cette approche naturelle qui a séduit le maître d’ouvrage.

D’abord, aucun pesticides n’a été utilisé pour préparer le terrain qui a accueilli le jardin. L’entretien du jardin se fera également de manière totalement naturelle. Les arbres existants ont été sauvegardés dans la mesure du possible là où une entreprise classique préconisait de tous les abattre. Le gazon a été combiné à un champ de fleurs et de plantes qui permet ainsi aux abeilles et papillons des prairies avoisinantes de trouver un nouveau terrain de jeu. Le tout dans un budget deux fois moins important que celui des concurrents.

Cette étroite collaboration entre désirs du client et créativité de D&C et Nnof ont conduit à la réalisation d’un véritable havre de paix.

Les produits à longue durée de vie se vendent mieux

Mentionner la durée de vie d’un produit sur son étiquette influence clairement l’acte d’achat selon une étude du CESE, le Comité économique et social européen.

« Les effets de l’affichage de la durée d’utilisation des produits sur les consommateurs. » Voilà un intitulé qui en dit long ! C’est celui d’une étude menée par le Comité économique et social européen (CESE). Sa conclusion : la mention de la durée de vie d’un objet sur son étiquette a une influence sur les décisions d’achat.

Environ 3.000 personnes ont été interrogées en Belgique, en France, aux Pays-Bas, en Espagne et en République tchèque. Parmi les chiffres à retenir : il y aurait 56 % de ventes en plus pour les produits à longue durée de vie si la durabilité du produit est clairement indiquée sur l’étiquette. Valises, imprimantes, lave-vaisselle… Les Européens désirent des objets davantage résistants. 80 % des participants (81,8 % des Belges) estiment en outre que les producteurs ont une responsabilité majeure par rapport à la durée de vie des produits.

Pas de doute, les Européens condamnent clairement l’obsolescence programmée et préconisent des produits garantis plus durables. 90 % déclarent même être disposés à payer plus cher pour avoir un lave-vaisselle avec une durée de vie supérieure de deux ans, par exemple.